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Photographie de Marjolaine Cardon, 2016.

Pour Ali Emiroğlu, arrivé de Turquie à Saint-Etienne à l’âge de 17 ans, la musique n’est pas un loisir mais une mission religieuse, sociale, mémorielle. Il s’agit de transmettre les valeurs et les rites des Alévis, un groupe minoritaire opprimé en Turquie dont il est lui même un « dede », un chef spirituel descendant d’une longue lignée de « dede ». Pour son fils Engin, qui est né à Saint-Etienne et a grandi bercé par les nombreuses musiques de Turquie et d’ailleurs, les choses sont un peu différentes... Ce portrait en miroir dessine les contours d’une tradition vivante et d’un lien à des passés lointains, fragiles, sans cesse réinventés.

Collectage : Talia Bachir-Loopuyt, Jonathan Duraj, Matthieu Lecouturier, Brice Rivey

Montage : Talia Bachir-Loopuyt

Portrait d'Engin EMIROGLU -
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Télécharger le billet étudiant réalisé par Jonathan Duraj, Matthieu Lecouturier, Brice Rivey, Master 1 recherche spécialité "musique et musicologie", 2015.

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Engin EMIROGLU

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